mercredi 9 février 2011

C'est fou. En fin d'après midi, je me sentais le coeur nostalgique, la tête plein de phrase qui aurait pu se réferer à l'année dernière, que j'avais envi d'écrire en statut, mais qui aurait trop fait pathétique. Puis une musique que j'aime bien, et un sourire qui illumine mon visage.
Définitivement, un rien me rend triste, mais un rien me fait sourire (Pour les cultes de mes anciens blogs j'avais déjà mis cette phrase dans l'autre ordre il me semble. Cela a de l'importance - nan, nan ça n'est pas un commentaire des mes écrits - : Le Mais est la partie la plus importante, car en ce moment, je vais bien - en général :) )
J'ai passé une bonne journée avec le Raf, à faire des allusions mal-tourné, à rire, à bavasser un peu, à marcher, à faire des courses, à traîner les chiens, à parler de Coldplay et a cuisiné. C'était drôle. J'ai seché la danse - encore une fois, je me déçois moi même, mais j'ai cette flemme et cette absence totale de volonté plutot inexpliquable - mais grace à mon immagination débordante j'ai trouvé une excuse valable pour ces trois semaines d'absence : je me serai casser le bras durant une excursion d'école - ne me dîtes pas que c'est débile, je me suis casser le poigné dans un Pélerinage il y a trois ans ! - , et on me l'a enlever durant les vacances. Ca ira, nan ?

J'ai follement envi d'écrire. Mais sur quoi ?
J'ai son regard en tête : Il n'avait pas forcement de beaux yeux, mais ce regard qui m'a décidement marqué, ce regard qui te donne la sensation qu'il te connait par coeur, et qu'il y a cette complicité étrange. Ca n'est pas possible à décrire, enfaite.
Autre chose. Cette ultime besoins d'être unique. Pour moi, la valeur des choses reposent souvent sur leur rareté. Je n'ai jamais vraiment cru que chaque personne est unique. Mais après reflexion, c'est vrai. Ou du moins ça n'est pas faux. Il y a ce trait précis qui différencie chaque personne. Je me suis fait des exemples, et je le sais.
Etre unique, la plus belle chose et la plus suprenante alors qu'on est presque 7 Milliards de personnes sur Terre.
Ensuite. La distance, foutu phénomène géographique qui a des répercutions sur le moral.
Enfin. Cette nouvelle phrase qui me hante en ce moment, alors que pourtant elle n'a pas grand chose à faire dans mon esprit ( non ? ) : La Haine & l'Amour sont deux sentiments très opposés. Mais la limite entre les deux est plus fragile qu'elle n'y parait. (c) J. Bon, bon le copyright est un peu prétentieux, surtout qu'il doit y en avoir des phrases comme ça. /BIM/

Aller, je vais me reposer avec un Dawson. J'ai encore envie d'écrire, mais bon.

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